Blue Label Digital Printing intègre CERM MIS et le système de production Esko Automation Engine pour gérer efficacement une croissance décuplée.

Le système surveille l'état d'avancement des travaux tout en assurant automatiquement une grande partie de la production.

Miamisburg, OH (USA) Août 2017 - L'intégration de puissants systèmes MIS et de systèmes de production flexibles peut transformer une entreprise d'impression d'étiquettes. Blue Label Digital Printing(www.bluelabeldigital.com) a combiné son Cerm MIS(www.cerm.be) et son système de production Esko Automation Engine pour accélérer la production avec un personnel prépresse gérable tout en décuplant les ventes.

Basée à Lancaster, OH, Blue Label Digital Printing est spécialisée dans la fabrication d'étiquettes personnalisées pour la bière, le vin, les aliments spécialisés, les spiritueux, les produits de santé et de beauté, les jus de fruits et bien d'autres produits. Ses 50 employés et ses presses numériques HP Indigo lui permettent de produire des lots de petite et de grande taille dans des délais de trois à cinq jours ouvrables. "Nous sommes un imprimeur d'étiquettes et d'emballages entièrement numérique, spécialisé dans les étiquettes de haute qualité en petits et moyens tirages. Nous offrons les meilleures étiquettes de qualité commerciale avec un service inégalé, que le produit soit destiné à être vendu sur un marché fermier ou à une grande marque en rayon. Nous nous adaptons aux besoins de nos clients", souligne Andrew Boyd, président de Blue Label Digital.

Intégrer un SIG moderne

Le service prépresse de l'entreprise était composé d'une seule personne qui s'occupait d'à peu près tout, depuis la réception et le nettoyage des maquettes jusqu'à l'envoi d'épreuves pour approbation, en passant par l'imposition de tous les travaux pour les presses numériques. "Une seule personne s'occupait de toutes les tâches de prépresse jusqu'à ce que nous ajoutions une aide à mi-temps. C'était beaucoup de travail", se souvient Phil Herington, directeur des systèmes numériques de Blue Label.

Blue Label utilisait un système MIS, mais il était difficile de générer les rapports qu'elle souhaitait utiliser. L'entreprise a décidé d'investir dans un SIG Cerm, car la flexibilité de sa base de données permettait à Blue Label de sélectionner les données comme elle le souhaitait. "En tant que petite entreprise, Cerm a permis au système d'information de gestion de travailler plus facilement pour nous. Il était également évolutif. Du point de vue de l'intello, la base de données SQL était beaucoup plus facile à utiliser", se souvient M. Boyd. "Cerm nous a permis de nous développer plus rapidement, dans le but de nous relier à notre flux de production Esko Automation Engine. Cerm, avec ses systèmes MIS, et Esko, avec ses systèmes de production d'étiquettes et d'emballages, sont des leaders de facto qui partagent la plus grande base installée dans ces domaines : plus de soixante systèmes intégrés dans le monde entier qui utilisent des presses numériques, conventionnelles et hybrides pour étiquettes. Lors de l'achat, ils ont fusionné les systèmes aussi rapidement que possible.

Vers une impression numérique rentable

Si vous êtes un imprimeur entièrement numérique, la majorité de vos travaux seront de petite taille. Vous devez apprendre à être rentable, même avec des travaux de 200 à 250 dollars. "Il faut que l'imprimeur rende les tâches sans valeur ajoutée aussi rentables que possible. Esko Automation Engine nous a permis de réaliser des étapes et des répétitions et de créer des épreuves qui dépassaient nos efforts humains", explique M. Boyd. "Il a permis à notre service prépresse de créer de la valeur en se concentrant sur la maquette unique du client plutôt que sur des tâches procédurales.

Désormais, les travaux sont réalisés en deux phases. La préparation de la maquette unique est toujours effectuée manuellement, mais la création et l'approbation des fichiers d'épreuves et l'envoi à la presse des fichiers d'étapes et de répétitions groupées - la maquette finale approuvée - sont effectués automatiquement par Automation Engine. Les opérateurs déposent simplement les fichiers dans un dossier Cerm où les fichiers sont traités dans Automation Engine, où ils sont préparés pour l'épreuvage et ensuite pour la presse.

"Depuis que nous avons intégré les systèmes, notre entreprise s'est multipliée par dix. Nous traitons environ 200 œuvres d'art par jour, alors qu'auparavant nous en traitions une vingtaine par jour", explique M. Boyd. "Aujourd'hui, il serait impossible de travailler sans le système. Nous avons considérablement augmenté le débit, avec des augmentations de personnel minimes. Sans notre système, nous aurions eu besoin d'une salle entière de personnes effectuant manuellement notre travail par étapes et répétitions toute la journée".

Combler les écarts : Automation Engine et Cerm démontrent leur force

"Nous déposons simplement le fichier dans notre dossier Cerm et Automation Engine s'occupe du reste. Un seul flux de travail est utilisé pour générer et suivre la révision de toutes les épreuves. Nous utilisons un flux de travail personnalisé que j'ai conçu. Une fois que le client a approuvé le fichier, un autre flux de travail prend le fichier et l'impose à la presse", ajoute Herington. "Pour le flux de production par étapes et répétitions, il suffit d'appuyer sur un bouton pour que le Cerm MIS envoie à Automation Engine des informations JDF sur le travail, la façon dont il doit être découpé, le format et les espaces requis, ainsi que le matériau de l'étiquette. Automation Engine prépare les fichiers à être RIPés pour la presse. Le Cerm MIS collecte et suit également l'état de chaque travail à chaque étape de la production jusqu'à l'expédition, y compris les détails provenant de la presse.

"Nous avons un nombre surprenant de clients qui ont plus de 100 UGS. Ce serait un cauchemar de traiter ces travaux sans la connexion que nous avons entre Automation Engine et Cerm", note M. Boyd.

Le Cerm reprend tous les travaux d'un même devis et les regroupe en vue de la production. Alors que l'étape de la programmation nécessite un certain travail manuel, la planification de la production est assurée par des outils automatisés. "Prenons l'exemple d'un travail composé de 60 étiquettes différentes", explique M. Herington. "Le Cerm peut assigner dix ordres d'exécution différents au système de production, avec des flux de six étiquettes différentes. Le Cerm enverra les détails à Esko Automation Engine, qui passera automatiquement à l'étape suivante et répétera les six étiquettes pour chacun des dix tirages.

Préparer l'avenir en poursuivant l'automatisation

"Nous n'avons pas encore exploité tous les autres outils d'Automation Engine et nous voulons étudier toutes les options. Esko dispose également d'un vaste portefeuille de produits. Nous savons que nous pouvons faire beaucoup de choses - par exemple, travailler en 3D avec Esko Studio", remarque M. Boyd. "Bien qu'il faille être rapide pour les approbations, notre principal argument de vente est notre délai d'exécution après l'approbation des épreuves par le client. S'il faut deux ou trois jours pour recevoir les maquettes et les épreuves, vous serez mis au défi. Si vous ajoutez le temps nécessaire au traitement d'un travail et à sa mise sous presse, vous repoussez les limites de la production. Une fois qu'un fichier est approuvé, avec Cerm et Automation Engine, nous n'attendons pas pour imposer le travail. Sans Automation Engine et Cerm, nous n'aurions pas pu être aussi rapides et performants que nous le sommes aujourd'hui, et le degré d'intégration entre le SIG et la production n'aurait pas été possible avec un tel niveau d'automatisation.

29/08/2017
Source : esko.com