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Nouvelle ère numérique

Les imprimeurs d'emballages sont gérés par des logiciels complexes et impénétrables. Packaging & Converting Intelligence s'entretient avec Geert van Damme, directeur général de CERM, sur la manière dont l'entreprise écrit des codes qui améliorent l'efficacité de la chaîne de production tout en aidant les fabricants à se préparer à l'essor de la presse numérique.

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Les imprimeurs d'emballages sont gérés par des logiciels complexes et impénétrables. Packaging & Converting Intelligence s'entretient avec Geert van Damme, directeur général de CERM, sur la manière dont l'entreprise écrit des codes qui améliorent l'efficacité de la chaîne de production tout en aidant les fabricants à se préparer à l'essor de la presse numérique.

Il a fallu un certain temps au CERM pour trouver son métier. Éditeur de logiciels spécialisé dans la fourniture de logiciels de gestion d'entreprise pour les imprimeurs à bobines étroites, il y a 30 ans, son offre de produits était plus générique.

"L'entreprise a commencé à développer n'importe quoi pour n'importe qui", explique Geert van Damme, directeur général de l'entreprise. "Au bout de quelques années, elle a commencé à collaborer avec la Fédération belge des arts graphiques.

Lentement, mais sûrement, cela a conduit le CERM à écrire des logiciels pour faire fonctionner les presses d'imprimerie. Le principal produit qui en est résulté est ce que M. Van Damme appelle "un petit système de planification des ressources de l'entreprise (ERP)" pour gérer l'administration, du devis à la facture.

Ce programme a conduit l'entreprise à étudier les moyens d'améliorer l'efficacité du processus de production d'emballages lui-même. Cette démarche a permis à l'entreprise de connaître un certain succès. "CERM emploie 55 personnes et réalise un chiffre d'affaires de près de 8 millions d'euros", explique M. Van Damme. "C'est devenu une entreprise.

Dos en carton

"Tout d'abord, il y a la colonne vertébrale", explique M. Van Damme à propos de l'offre de produits de son entreprise, qui peut être comparée à n'importe quel système ERP. Toute entreprise d'emballage doit établir des devis, accepter et livrer les commandes de ses clients. "Parfois, explique M. Van Damme, il faut produire, retirer des produits du stock et envoyer des factures.

CERM a écrit des modules pour gérer chacun de ces aspects du processus de production d'emballages, en plus de la gestion des KPI et de la business intelligence.

"C'est la couche de base", explique M. Van Damme. "Pour l'impression d'emballages, une couche de pilotage de la production a été ajoutée. Cela signifie que l'entreprise est sortie du cadre de la reproduction d'un simple ERP et s'est spécialisée dans le guidage de toutes les étapes de la production sur le lieu de travail à l'aide d'instructions précises.

Le CERM s'est attelé à la création d'interfaces pour les systèmes de flux de travail prépresse, afin d'optimiser la gestion des illustrations demandées par le client. Van Damme prend l'exemple d'une commande de deux étiquettes différentes : l'une pour une bouteille d'eau plate, l'autre pour une bouteille d'eau gazeuse.

"Le client envoie ces deux fichiers d'étiquettes à l'imprimeur, qui s'assure alors qu'ils sont imposés sur les plaques d'impression dans la section prépresse", explique-t-il.

L'interface du CERM permet à l'imprimerie de savoir quand la presse doit imprimer, que le papier est disponible, que l'étape suivante - la découpe - est commandée et qu'elle est là au moment de la finition. "Chaque étape recevra les informations nécessaires du Cern : comment produire, quand produire, quelle quantité produire et avec quelles caractéristiques techniques", explique M. Van Damme.

Le CERM n'a pas non plus oublié le rôle du client. "Le client pourra participer via une interface web, ce qui signifie qu'il pourra voir l'état de ses commandes", explique M. Van Damme. "Il peut commander de nouvelles choses, ou annoncer de nouveaux produits, et avoir plus d'informations sur le stock de produits, donc il participera également. De l'autre côté, les fournisseurs pourront également participer. Le CERM enverra des commandes électroniques aux fournisseurs de papier, par exemple, avec la quantité exacte nécessaire pour la production des prochains jours.

Réduction des déchets

Une plus grande durabilité sur la ligne de production est un autre effet secondaire positif dont les clients du CERM ont bénéficié.

"L'outil de planification permettra à l'imprimeur de commander facilement tous les travaux de production pour chaque machine avec le même papier, les mêmes couleurs ou la même découpe, l'un après l'autre", explique M. Van Damme. "Un autre aspect est que CERM fournit des outils qui augmentent considérablement la rentabilité de la production.

"Par exemple, la même étiquette peut être produite sur une presse numérique ou sur une presse conventionnelle. Cette dernière sera rapide à produire, mais lente à mettre en place, car il faut monter les plaques. Une presse numérique sera lente à produire, mais très rapide à mettre en place. Par conséquent, les petites quantités ou une grande variété d'étiquettes seront mieux produites sur une presse numérique, et les plus grandes quantités sur une presse conventionnelle.

Si les deux méthodes de production sont disponibles, les modules logiciels du CERM sont capables de choisir la plus efficace des deux pour permettre aux fabricants de réduire leurs temps de préparation et les déchets générés pendant l'impression. M. Van Damme est convaincu que son entreprise a une longueur d'avance en ce qui concerne la fourniture de ce service. "Environ 25 % des nouvelles presses installées sont déjà des presses numériques", note-t-il.

Il est également certain que l'essor de la presse numérique encouragera l'automatisation à s'étendre à d'autres sections du processus de production. "Lorsqu'un nouveau travail est imprimé sur une bobine de papier, il est possible d'imprimer un code-barres", explique M. Van Damme. "Ce code sera lu par l'étape suivante afin de récupérer les instructions relatives à ce travail. Au sein d'un travail, il est également possible d'identifier les différentes voies d'étiquettes - celles pour l'eau plate et l'eau gazeuse, par exemple - qui se trouvent l'une à côté de l'autre. Il est alors possible d'identifier non seulement la tâche, mais aussi les couloirs et les produits.

Ainsi, les machines instruisent les machines. "Tout cela permettra de réduire les déchets", explique M. Van Damme. "Les appareils automatiques liront les codes-barres et ne demanderont même plus à l'homme de faire quelque chose.

Plus de 40 % de la valeur ajoutée du CERM est réinvestie dans son programme interne de recherche et développement. Cet engagement en faveur de l'innovation a donné des résultats tangibles pour l'entreprise et ses clients.

"Depuis quelques décennies, nous avons un système dans lequel le client doit investir dans des mises à jour annuelles", explique M. Van Damme. "Ils investissent et nous investissons à notre tour, ce qui signifie que plus nous recevons d'argent de nos clients, plus nous pouvons employer de développeurs. Plus nous avons de développeurs, plus notre produit est performant".

Écouter les clients

M. Van Damme affirme que le CERM a également été l'un des premiers éditeurs de logiciels à proposer un modèle d'abonnement pour ses produits, les clients louant effectivement le logiciel. "C'était il y a 25 ans", précise-t-il. "Ce n'est qu'aujourd'hui que des entreprises comme Microsoft commencent à mettre en œuvre ce modèle.

Si le CERM a été le premier à le faire, c'est parce que, comme le dit M. Van Damme, "la nature de notre travail est d'être à l'écoute des clients, des tendances et des nouveautés qui se produisent".

Cette anticipation des besoins des clients a donné lieu à d'autres innovations. "Il y a quelques années, nous avons ajouté les manchons rétractables et les emballages souples", explique M. Van Damme. "Nous avons constaté que de plus en plus d'imprimeurs le faisaient, et nous avons donc développé des outils et des ensembles d'instructions dédiés à ce type de produit.

Toutefois, le CERM s'attache avant tout à préparer ses clients à la vague d'automatisation qui, selon ses prévisions, déferlera sur la fabrication d'emballages.

"L'automatisation, accompagnée d'un plus grand nombre d'ordinateurs dans les imprimeries et d'instructions électroniques, changera la façon dont les gens travaillent dans ces entreprises", explique M. Van Damme.

"Les propriétaires d'imprimeries doivent être conscients que cela va peser sur leur propre gestion, car ils devront s'améliorer constamment et ne pas se contenter d'installer un système d'information de gestion et de dormir pendant dix ans. Ils doivent former leur personnel de manière quasi permanente à ce monde en constante évolution.

 

25/09/2018
Source : pci-mag.com

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